REGULATED PRESS RELEASE

from DERICHEBOURG (EPA:DBG)

Résultats de l’exercice 2023-2024

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COMMUNIQUÉ

                                                                                                Paris, le 05/12/2024

Résultats de l’exercice 2023-2024

 

Les très bons résultats du second semestre confirment la pertinence de la stratégie du groupe

 

 

Le conseil d’administration du 5 décembre 2024, présidé par Monsieur Daniel Derichebourg, a arrêté les comptes annuels et consolidés au 30 septembre 2024. Au cours de cette séance, le Président du conseil d’administration a souligné la très forte résistance des résultats du groupe Derichebourg, dans un contexte économique difficile, grâce à un très bon second semestre. Le groupe a su se diversifier dans des lignes spécialisées hautement techniques, qui le différencient de ses concurrents. 

 

Chiffre d’affaires consolidé

Le chiffre d’affaires de l’exercice s’élève à 3,6 milliards d’euros, quasiment stable par rapport à l’exercice précédent (-0,4 %). Dans l’activité Recyclage, le chiffre d’affaires diminue de (0,7) %, dans l’activité Services aux Collectivités, il progresse de +5,1 %.

(En milliers de tonnes)

2024

2023 retraité (1)

Variation

Ferrailles

Métaux non ferreux

4 418,6 695,1

4 686,6

(5,7%)

695,7

(0,1%)

Total volumes                                                                                                        5 113,7            5 382,3            (5,0%)

(1) Les volumes de métaux non ferreux de l’exercice 2023 ont été retraités de (74,7) milliers de tonnes afin de tenir compte de l’importance grandissante des activités de tri post-broyage et de ne plus compter des produits pauvres sortant de ces installations à prix 0.

(En millions d’euros)                                                                                                  2024                 2023       Variation

retraité (1)

image

Ferrailles

1 543,9

1 646,2

(6,2%)

Métaux non ferreux

1 699,9

1 605,1

5,9%

Prestations

169,2

185,7

(8,9%)

Chiffre d’affaires Recyclage

3 412,9

3 437,0

(0,7%)

Chiffre d’affaires Services aux collectivités

192,4

183,0

5,1%

Chiffre d’affaires Holding

1,1

1,3

(17,1%)

Total Groupe

 3 606,4

3 621,3

(0,4%)

(1) Retraité à la suite du reclassement de la société Derichebourg Environnement du secteur opérationnel Holding au secteur opérationnel Recyclage en conséquence de l’absorption de la centrale des ventes Coframétal en décembre 2023.

Recyclage

La situation du secteur sidérurgique, qui impacte directement les ventes de ferrailles, s’est détériorée tout au long de l’exercice. Le secteur souffre en Europe depuis l’attaque de la Russie sur l’Ukraine de prix de l’énergie élevés, qui se sont répercutés sur l’inflation, provoquant une hausse des taux d’intérêt. Dans ce contexte, les secteurs aval de la construction, importants débouchés pour les aciers longs, déjà fragilisés par des évolutions législatives pénalisantes, ont de faibles niveaux d’activité. De surcroît, les exportations chinoises de semi-produits d’aciers à bas prix sont à des niveaux élevés, car la Chine exporte sa surproduction en Europe, mais aussi en Turquie, et concurrence ainsi les aciéristes clients du groupe.

L’industrie automobile européenne produit peu, entre interrogations des consommateurs sur quel type de motorisation choisir, et prix des véhicules en augmentation, ce qui se traduit par une baisse des volumes des chutes de production dans la filière, et par de moindres entrées de VHU. 

Enfin, le secteur de l’acier est confronté au défi de la décarbonation, en particulier les hauts-fourneaux, dont le processus de production est fortement émetteur de gaz à effet de serre. Les solutions techniques envisagées incluent souvent la réduction directe du minerai par hydrogène, couplée à un four électrique consommant une proportion variable de ferrailles. Cependant, aucun investissement à l’échelle industrielle n’est encore lancé, compte tenu de la détérioration de la conjoncture par rapport au moment où ces projets ont été envisagés, ainsi que de certains obstacles techniques qui ne sont pas levés (disponibilité en quantité suffisante de l’hydrogène vert), et d’une crainte d’un manque de ferrailles disponibles. Dans ce contexte, le four électrique classique, faiblement émetteur de gaz à effet de serre dans les pays où l’électricité est décarbonée, demeure une alternative avantageuse.

Dans cette conjoncture morose, le groupe parvient à maintenir ses volumes, grâce à sa proximité avec ses clients, et à une réactivité aux évolutions des conditions de marché.

Concernant le marché des métaux non ferreux les marchés se sont tenus au global correctement, et ont permis au Groupe de développer son activité dans des conditions assez satisfaisantes. En outre, le groupe a tiré au second semestre de son exercice les bénéfices de ses investissements dans de nouvelles lignes de tri et de traitement spécialisées : 

•       Le nouveau broyeur 6.000 cv à St-Pierre-de-Chandieu (69) et sa ligne de traitement postbroyage

•       L’unité de traitement de fractions fines (quelques millimètres de diamètre) à Bruyères-surOise (95)

•       La ligne de broyage de câbles cuivre / aluminium à Escautpont (59)

•       La ligne de préparation des fractions aluminium à Coulombiers (86), capables d’être consommées par des extrudeurs

•       La nouvelle ligne de traitement des réfrigérateurs (et bientôt des ballons d’eau chaude) à Bonneuil-sur-Marne (94)

•       Les tables de tri de fractions de métaux lourds en Espagne

La contribution de ces nouvelles lignes à l’EBITDA courant est supérieure de 5 M€ au second semestre par rapport au premier. Cette amélioration intègre à la fois leur montée en puissance et l’évolution des conditions de marché.

Ferrailles

Le volume de ferrailles commercialisées par le Groupe est en diminution de (5,7) %

Compte tenu d’une offre de déchets également en raréfaction (consommation atone), les prix des ferrailles ont bien résisté sur l’exercice, puisque le prix moyen (349 €/t) n’est inférieur que de 2 € au prix moyen de l’an passé. Les prix ont toutefois eu tendance à baisser en toute fin d’exercice.

Au global, le chiffre d’affaires dégagé sur les ventes de ferrailles est de 1 543,9 M€, en baisse de (6,2)%.

Métaux non-ferreux

Le volume de métaux non ferreux commercialisés est quasiment stable (-0,1 %). 

Le Groupe tire sur le second semestre de l’exercice les fruits des investissements conséquents qu’il a consacré au développement de nouvelles technologies :

•       Aluminium, principale famille par les volumes vendus : les volumes sont en baisse de 4 %. Les ventes de lingots d'aluminium sont en baisse de 7 %, à cause de la situation du marché automobile. Les ventes des aluminiums hors lingots résistent mieux, ne baissant que de 2 %. La diminution des prix de l’électricité a permis aux volumes de bien résister, même si la demande des marchés sous-jacents n’est pas aussi forte qu’attendu dans le contexte de verdissement de la production d’aluminium. Les produits vendus par le Groupe aux extrudeurs concourent directement au « verdissement » de leur production d’aluminium.

•       Inox : les volumes de déchets d'acier inoxydable sont en retrait de 7 % par rapport à l'exercice précédent. La faiblesse de la production des aciéries spécialisées européennes, qui souffrent de la concurrence du nickel indonésien, explique cette baisse.

•       Cuivre : les volumes résistent (+2 %). Le Groupe tire les fruits de ses investissements dans une deuxième ligne de grenaillage de câbles cuivre, et ce métal est recherché dans le contexte de transition énergétique. Le cuivre est le premier contributeur en termes de chiffre d’affaires (35 % du total).

•       Les volumes de plomb commercialisés progressent de 3 %.

•       Les volumes de laiton sont en progression de 14 %, ceux de zinc en retrait de 5 %.

•       Les métaux divers (zorba, métaux pauvres) sont stables.

Le prix de tous les métaux a connu une hausse sensible entre les mois d’avril et juin 2024, avant de diminuer. Cependant, cette hausse des prix, et une évolution du mix métal vendu qui comporte davantage de grenaille de cuivre (le produit le plus cher commercialisé par le Groupe) font progresser le prix moyen des métaux non ferreux vendus par le Groupe de 6 %, passant de 2 307 €/t à 2 445 €/t.

Au global, le chiffre d’affaires métaux non ferreux s’établit à 1 699,9 M€, en hausse de 5,9 % par rapport à l’exercice précédent. C’est la première fois dans l’histoire du Groupe que le chiffre d’affaires MNF dépasse aussi largement celui réalisé par les ventes de ferrailles.

Prestations

Le chiffre d’affaires des prestations liées au Recyclage est en baisse de (8,9) %. Sont notamment comptabilisées dans cette rubrique les prestations de traitement de DEEE, de collecte de déchets industriels banals, et quelques prestations sidérurgiques ou en usine. 

Une activité de démantèlement de wagons a été reclassée dans le chiffre d’affaires Ferrailles. Corrigée de ce reclassement, la baisse n’est que 5 %. Les prestations de transport pour compte de tiers, et les refacturations de prestations informatiques à Elior Group sont en baisse. Les prestations de traitement de DEEE sont en hausse de 1,2 %, celles de collecte et traitement de déchets industriels banals de 2,8 %. 

Services aux collectivités

L’activité Services aux collectivités a connu une nouvelle année de développement (+5,1 % à 192,4 M€). Au niveau du chiffre d’affaires, l’arrivée à échéance du contrat de collecte de Marseille au 31 mars 2024 est amplement compensée par le gain des contrats CIVIS (La Réunion) et au Québec. 

Grâce à sa politique sélective de réponses aux appels d’offre, à la qualité des services rendus, et à son encadrement de proximité, l’activité Services aux Collectivités connaît une nouvelle année de croissance de sa profitabilité, dont l’EBIT courant atteint 12,7 % du chiffre d’affaires.

EBITDA courant

L’Ebitda courant de l’exercice s’élève à 330,0 M€ (142,0 M€ au premier semestre et 187,8 M€ au second semestre), en diminution de (1,4) % par rapport à l’an passé. Les conséquences financières de la cyberattaque survenue le 10 novembre 2023, estimées par le groupe à 15 M€ environ, et un marché des ferrailles avec des volumes en baisse compte tenu de la mauvaise situation du marché sidérurgique expliquent cette diminution, qui est partiellement compensée par une amélioration des performances dans les services aux collectivités, et par le résultat lié au démarrage de nouvelles lignes de tri, principalement dans les métaux non-ferreux. La diminution des coûts d’électricité, gaz et autres carburants compensent partiellement la diminution de la marge commerciale. 

L’EBITDA courant est de 288,6 M€ dans l’activité Recyclage (8,5 % du CA) et de 39,7 M€ dans l’activité Services aux collectivités (20,6 % du CA).

 

                 

 

Résultat opérationnel courant

Après prise en compte de 156,5 M€ de dotation aux amortissements nette des reprises sur l’exercice (vs. 149,9 M€ au cours de l’exercice précédent), le résultat opérationnel courant s’élève à 173,5 M€, en retrait limité de (6,1) % par rapport à l’exercice précédent.

 

Résultat opérationnel

Les éléments non-récurrents de l’exercice sont composés de :

•       un produit de 3,8 M€ lié à une décision favorable de la cour d’appel de Paris dans un litige 

•       une provision de 2,5 M€ lié à l’estimation du coût de démantèlement et dépollution d’un site situé dans le port de Strasbourg, dont l’exploitation a cessé au cours de l’exercice

 L’an dernier, les principaux éléments non-récurrents étaient :

•       le profit (sans contrepartie trésorerie) de 50,7 M€ dégagé lors de la cession de l'activité Multiservices à Elior Group, rémunérée en titres ;

•       une plus-value nette de 12,6 M€ dégagée lors de la cession de 8 centres de recyclage au groupe italien Riva à l'occasion de la mise en œuvre des engagements de cession pris auprès de la Commission Européenne ;

•       une charge de 3,7 M€ liée à un jugement défavorable de la cour de cassation qui a cassé l'arrêt d'appel dans un litige opposant le groupe Veolia à différentes filiales de Poly-Environnement et portant sur la fiabilité de l'information transmise en 2013 et 2014 à propos de la masse salariale relative à des contrats en renouvellement (décision renversée en appel en 2024).

 

Le résultat opérationnel s’élève à 176,0 M€ en diminution de 28,1 % par rapport à la période comparable de l’exercice précédent, mais l’exercice précédent comportait beaucoup d’éléments nonrécurrents positifs.

Résultat avant impôt

Après prise en compte de 40,4 M€ de frais financiers (en hausse de 10,8 M€ sous l’effet de taux d’intérêt élevés en année pleine), et d’autres charges financières nettes 3,1 M€, le résultat avant impôt du Groupe s’élève à 132,5 M€, en diminution de 81 M€, soit (37,9) % par rapport à l’an passé.

 

Part de résultat des sociétés mises en équivalence

La quote-part de résultat des sociétés mises en équivalence constitue une charge nette de 19,0 M€. Elle est principalement constituée de la quote-part de résultat d'Elior Group sur l'exercice pour -19,8 M€ (vs. -39,4 M€ l’an passé). Malgré l’amélioration très significative des résultats (amélioration de 98 M€ du résultat opérationnel), les charges non-récurrentes d’Elior Group se traduisent par un résultat net négatif. La quote-part de résultat retenue pour Elior Group est de 48,17 %. 

 

Résultat net de l’ensemble consolidé

Après prise en compte d’une charge d’impôt sur les sociétés de 36,8 M€, faisant ressortir un taux d’impôt effectif de 27,8 % sur le résultat avant impôt, le résultat net de l’ensemble consolidé est de 76,7 M€, dont 74,8 M€ revenant aux actionnaires de l’entité consolidante. 

Le Cash-Flow Disponible est proche de 100 M€.

Le conseil d’administration propose à l’assemblée générale du 29 janvier 2025 la distribution d’un dividende de 0,13 € par action, soit un rendement proche de 3% sur la base du cours au 4/12/2024.

 

Perspectives pour l’exercice 2024-2025

L’environnement économique en Europe en ce début d’exercice est morose. Mais le groupe aborde cette période avec confiance. Dans l’activité Recyclage, le groupe compte sur les relations de long terme tissées avec ses différents clients et partenaires pour traverser cette période. De plus, Derichebourg devrait bénéficier de plusieurs facteurs favorables :

•       les incertitudes entourant le calendrier de réalisation de projets industriels de production d’acier par réduction directe de minerai par hydrogène font plus que jamais de la filière électrique un excellent compromis sur l’équilibre du couple coût de production / empreinte environnementale

•       les différentes lignes spécialisées investies au cours des 24 derniers mois (en particulier dans le tri des métaux non-ferreux) et celles qui vont entrer en production dans l’exercice devraient apporter un surcroît d’activité et de profitabilité

•       une nouvelle baisse du prix de l’électricité en France, dont l’impact sera de 5 M€ environ en année pleine

•       l’absence escomptée de perturbation dans la marche de l’entreprise causée par la cyberattaque de novembre 2023

•       une structure financière solide

Dans les services aux collectivités, le chiffre d’affaires et l’EBITDA courant devraient encore progresser légèrement

Malgré le contexte économique difficile, le groupe ambitionne de dégager un EBITDA courant en hausse d’au moins 350 M€ pour l’exercice 2024-2025 à conditions économiques équivalentes, tout en limitant ses investissements à un montant n’excédant pas 175 M€. Le Cash-Flow libre devrait être significatif, a fortiori avec la baisse des taux d’intérêt qui s’amorce.

                 

 

Annexe 1 : COMPTE DE RESULTAT

(En millions d’euros)

2024

2023 (1)

Variation

Chiffre d’affaires

3 606,4

3 621,3

(0,4%)

EBITDA courant

330,0

334,8

(1,4%)

image dont Recyclage (1)

288,6

306,6

(5,9%)

image dont Services aux collectivités

39,7

30,5

30,4%

Résultat opérationnel courant

173,5

184,9

(6,1%)

image dont Recyclage (1)

148,6

174,2

(14,7%)

image dont Services aux collectivités

24,5

13,9

76,7%

Éléments à caractère non courant, nets

2,5

59,8

Résultat opérationnel

176,0

244,7

(28,1%)

Frais financiers nets

(40,4)

(29,6)

Autres éléments financiers

(3,1)

(1,6)

Résultat avant impôt

132,5

213,5

(37,9%)

Impôt sur les bénéfices

(36,8)

(44,0)

Part du résultat des sociétés mises en équivalence

(19,0)

(37,7)

Résultat des activités arrêtées ou en cours de cession

-

5,6

Résultat net revenant aux intérêts ne conférant pas le contrôle

(1,9)

(0,5)

Résultat net revenant aux actionnaires

74,8

136,9

(45,3%)

(1) Retraité à la suite du reclassement de la société Derichebourg Environnement du secteur opérationnel Holding au secteur opérationnel Recyclage en conséquence de l’absorption de la centrale des ventes Coframétal en décembre 2023.

ANNEXE 2 : BILAN

Actif                                                                                                                                                                                       

(En millions d'euros)                                                                                                        30-09-24         30-09-23 Variation

Écarts d'acquisition

275,9

276,1

Immobilisations incorporelles

2,3

2,0

Immobilisations corporelles

822,2

838,5

Droits d'utilisation

310,0

274,5

Actifs financiers

6,9

5,0

Participations dans les entreprises associées et les co-entreprises

389,4

414,8

Impôts différés

19,1

23,2

Autres actifs

-

-

Total actifs non courants

1 825,7

1 834,2

(0,5%)

Stocks et en-cours

175,3

158,3

Créances clients 

274,6

305,8

Créances d'impôt

9,9

7,4

Autres actifs

69,2

105,7

Actifs financiers 

16,1

11,4

Trésorerie et équivalents de trésorerie

192,2

161,1

Instruments financiers 

0,6

1,5

Total actifs courants

737,9

751,1

(1,8%)

Total actifs non courants et groupes d'actifs destinés à être cédés Total actif

-

-

 

2 563,6

2 585,3

(0,8%)

Passif                                                                                                                                                                                    

(En millions d'euros)                                                                                                        30-09-24        30-09-23 Variation

Capitaux propres Groupe

1 030,9

990,4

 

Intérêts ne conférant pas le contrôle

3,3

2,4

Total capitaux propres

Emprunts et dettes financières

Provision retraite et avantages similaires

Autres provisions

Impôts différés

Autres passifs 

Total passifs non courants

Emprunts et dettes financières

Provisions

Fournisseurs 

Dettes d'impôts

Autres passifs 

Instruments financiers

Total passifs courants

Total passifs liés à un groupe d'actifs destinés à être cédés Total passif

1 034,2

992,8

773,6

28,2

31,8

33,4

4,2 871,2

160,2

14,3

390,0

9,7

144,9

2,2

721,3

-

2 585,3

4,0%

 

 

 

 

 

(2,6%)

 

 

 

 

 

 

(6,0%)

 

(0,8%)

748,1

29,3

30,4

37,7

3,4

848,9

157,8

5,4

376,5

11,7

128,0

1,1

680,5

-

2 563,6

Annexe 3 : Passage de l’endettement financier net du 30 septembre 2023 au 30 septembre 2024

 

Endettement financier net 30-09-23

772,7

EBITDA courant

(330,0)

Variation du BFR

(29,9)

Frais financiers nets

40,4

Impôts sur les sociétés

27,7

Investissements

189,5

Nouveaux droits d'utilisation des locations simples

7,6

Dividendes

25,5

Autres

10,2

Endettement financier net 30-09-24

713,7

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